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Depuis le premier cas en Chine au mois de décembre 2019, beaucoup de fake news ont pu se répandre en même temps que l’épidémie dans le monde. Petit point de mise en garde …
Par mesure de sécurité, lavez les idées reçues avant chaque utilisation
Commençons déjà par écarter toutes les fake news les plus répandues sur le sujet avec ici une liste complète des articles de l’Agence France Presse concernant le coronavirus. On pourra y découvrir que la cocaïne ne soigne en effet pas du coronavirus ou que la Chine n’accumule pas ses morts de la maladie dans la rue.
Une fois les plus gros éléments déjà triés on peut discuter un peu plus de l’épidémie actuelle. Tout d’abord le taux de mortalité reste relativement bas aux dernières nouvelles, donc pour un individu présentant un système immunitaire opérationnel le risque pour sa vie reste limité si rapidement pris en charge. Cependant comme une grippe, c’est bien de ne pas l’avoir, d’un point de vue qualité de vie et pour protéger les plus vulnérables.
En cas de doute un médecin ou le 15 sera bien plus apte à répondre à vos questions que les réseaux sociaux, ou votre tonton Dédé qui a vu un documentaire sur les virus il y a 4 ans et se croit médecin depuis (on l’aime bien quand même mais voilà).
Ben, du coup on fait quoi ?
Bah rien. On évite d’être raciste et de relayer des fausses informations, c’est déjà pas mal.
La plus grande menace à l’échelle mondiale reste l’impact économique qu’à l’épidémie avec la diminution des exportations de la Chine vers le reste du monde. Mais pour ça on peut pas faire grand-chose non plus, sauf attendre que ça passe.
Les mesures de sécurité nécessaires sont à prendre pour protéger les plus vulnérables, les enfants, les personnes âgées ou les personnes déjà atteintes d’une maladie. C’est toujours préférable d’écouter un vrai médecin qu’un site anti fake news.
Une leçon à tirer
Comme dans beaucoup de situations comparables c’est peut-être toujours plus facile de paniquer plutôt que de garder la tête froide. La situation est loin d’être fixe et mieux vaut suivre l’actualité de sources sûres, même si ça peut parfois être un peu anxiogène. Les idées restent toujours la première chose à nous contaminer dans ce genre de situation.
